C'est la première histoire que j'ai écrite. A l'époque on allait sur minitel. J'avais 25 ans. Je viens de la retrouver sur mon ordinateur. Le string était déjà très tendance.
***********************
On était au mois d'août. Il faisait une chaleur écrasante. Je devais prendre l'avion sur les coup de 9 heures du matin et afin de ne pas être prise dans les embouteillages, j'avais décidé de passer ma nuit à l'hôtel près de l'aéroport.
J'étais toujours nerveuse avant de prendre l'avion. Je passais mon temps dans ceux-ci mais à chaque fois, j'avais beaucoup de mal à dormir. Pour en rajouter encore plus, la climatisation était en panne et étant proche de l'aéroport, j'avais du laisser la fenêtre fermé toute la nuit. La chaleur était insupportable, même allongée nue sur le lit sans un seul drap sur le corps. J'étais humide de transpiration.
Sur les coups de six heures, je n'en pouvais plus. Je me levais alors, pris mon string ficelle noir et le passais. J'allais à la fenêtre, vêtu uniquement de mon string et l'ouvris afin d'avoir un peu d'air et tans pis pour le bruit.
J'accueillis avec grand plaisir la brise matinal sur mon corps humide. Cela me faisait un bien fou.
J'entendis frapper légèrement à la porte de ma chambre. Oubliant complètement l'état de nudité dans lequel je me trouvais, je dis d'entrer. Ce devait être le petit déjeuné. Sans me retourner, je dis à la personne de déposer le plateau sur le lit. D'après le bruit de vaisselle, je sus qu'il m'avait obéit. J'entendis la porte s'ouvrir à nouveau puis se refermer. Je n'avais pas quitté ma place, trop bien à l'endroit où je me trouvais.
La chaleur m'avait rendu toute chose et cette air ne faisait en rien pour calmer mes sens. Je regardais, sans regarder, le trafic des avions sur l'aéroport.
Je sentis alors une main effleurer mes fesses nues. Je crus d'abord que je rêvais. La main se fit plus persistante et me caressa les fesses avec plus de conviction. La chair de poule envahit mon corps. J'étais suffisamment excité pour ne pas repousser la main.
Me voyant consentant, la main s'enhardit et glissa entre mes cuisses. J'écartais légèrement mes jambes afin de lui faciliter le passage. J'étais déjà humide. Les doigts constatèrent mon état et me caressèrent mes lèvres intimes à travers mon string. Je sentais une respiration lourde contre ma nuque. Une autre main vint sur mes hanche et remontèrent sur ma poitrine. Mes tétons dardaient, durs comme de la pierre. A leur touché, je reconnus des mains d'homme. Il prit un de me tétons entre deux doigt et le pinça violemment. Je gémis sous la douleur.
Je ne voulais pas me retourner. Je préférais garder cet anonymat. Une langue commença à me lécher dans le cou. Je tremblais de tout mon corps. La langue descendit le long de mon dos et atteignit mes fesses. Les deux mains malaxèrent mon postérieur puis s'emparèrent de mon string. Il descendit doucement, restant légèrement collé à la moiteur de mon sexe. Je sentais son souffle sur la peau fragile de mon postérieur. Je m'écartais du mieux que me le permettait ma culotte sur mes genoux. Une langue glissa dans le sillon de mes fesses et deux doigts écartèrent mes pétales engorgées de rosés.